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Niv. expérience : 1
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Tremblant encore sur ce matelas, après cette horde de zombie, n’osant pas sortir du aux horribles cris venant du côtés Est de la ville, attendant jusqu'à l’arrêt complet des cris, hésitant, troublé par cette nuit fort agité, je pris mon courage à deux mains pour me décider à ouvrir la tente… Une ombre, aaaah… elle s’approche de moi ! ! ! Au secours à l’aide ! Vite une arme ! Et *merde* j’ai juste ce matelas, je le savais qui allait m’être inutile cette nuit… Un silence retentit l’ombre ne bougeait plus, stagnant devant chez moi c’est bien ma veine… ouvrant la fermeture éclair de ma tente, j’étais nez à nez avec l’ermite , riant derrière sa main. Il vient de rentrer de sa promenade le sac chargé d’un OD, 2 planches, et d’un pistolet à eau vide. Tss, c’est abusif, les héros ermites, ils font peur au pauvres citoyens sans défense. Reprenant ses esprits, il me demanda si je ne voulais pas venir avez lui faire une expédition, rendez dans un quart d’heure au porte de la ville, pendant qu’il dépose ces affaires qu’on se prépare. Lui répondant que j’étais terrorisé à cause de cette nuit, je n’osais pas trop sortir, rigolant à mon nez il me dit « Va à la banque te piquer, sale drogué. Et trompe toi surtout pas entre le cyanure et la piqûre de calmant. » Comme si j’étais un noob, ra la la je vous jure, c’est horrible de vivre dans une ville ou son esprit de rebelle des bacs à sable doit se formater à la façon des méta coalition, le hic dans tous ça c’est qu’hier pour l’attaque on n’avait pas assez de défense, donc des zombies sont passés et ça dit qu’une méta coalition est organisé.. Ces zombies ont tué mon copain, et … Il a retapisser le quartier Est en couleur vif, c’est chouette non ? Mon sac est prêt une nourriture 7PA, ma ration d’eau et deux pistolets à eau, je suis pile à l’heure. Le chef de l’escorte expliquait comme quoi on passait dans un premier temps par le bâtiment à 4km au sud de la ville, le laboratoire cosmétique, puis on tournerai à l’est pour aller à la villa duke puis revenir par le nord puis l’ouest. Il espère qu’on trouvera des nouveaux bâtiments dans cette zone. Les minutes s’écoulant, les heures passant, la journée avançant, les fouilles inintéressantes, nous désespèrent, n’ayant même pas pu trouver un objet dans ce laboratoire. Ranimant ma joie de vivre, oubliant les zombies, je couru pour prendre ce magnifique tableau d’ExenTryK,un artiste du monde après infection, le picasso de mon temps rêvant du japon mais tellement désespéré il n’a même pas utilisé le sang de ces congénères comme peinture, soit c’est ça soit les zombies l’ont pris comme casse croûte, par conséquent il a pas fini son chef d’œuvre. Ce n’est pas grave, je l’aime comme il est ! Peut-être qu’il rêvé du temps ou le japon et les mangakas existés. Je ne t’oublierai jamais ExenTryK. Que ton corps soit le repas de mes fiers amis les zombies Amen . Si ces zombies étaient catholiques, ils ont rompu ton corps et l’ont partagé en disant : ceci est a moi, c’est bon se sang. Quelle digne fin pour un artiste. A force de rester devant ton tableau, l’expédition c’est faite sans moi, les zombies ont repris, le contrôle, aïe aïe aïe carambas… Décidant de m’allonger dans le fauteuil intact de la villa, je vis non pas eux, ra non ils vont pas recommencer, comment ils savent que je suis là ? Notre odeur se ressemble tellement vu les nombres de douches que je n’ai pas pris… Au premiers étage à la douche, ils ne viendront pas. Un pistolet à eau dans chaque main, pischtant sur les zombies, leur corps disparurent, montant l’escaliers auquel il lui manquait une ou deux marches, je me rabattu en haut. Regardant à de gauche, non c’est une chambre, à droite, vite, vite, encore une chambre, vite tout droite, donnant un coups de pied à la porte je me retrouvais enfin dans la salle demain. Bloquant la porte cassé par mon pied avec des meubles Kiela de moyenne qualité, vérifiant ensuite si le robinet marchait quand soudain… « Aoooooooooohh », pas d’eau dans le lavabo et un zombie dans la douche. Le zombie, commençant à sortir nu sans prendre soin de se couvrir avec une serviette, tombant sur le sol le bras le premier, venant vers moi, non c’est pas possible même plus de munitions dans ces armes et j’ai bu ma gourde devant le tableau de picasso… Me débattant comme un geek, n’arrivant pas à l’arrêter il me blaqua contre le mur, sa force de brute ouvrit mon ventre comme une boîte de conserve, mordant mes tripes, et autres boyaux, ma vue se troubla, puis devient flou. Mes yeux se referment lentement, puis je vis un point noir avec du blanc tout autour, est ce donc ça le paradis ? |
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