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Il retourna examiner les cartons, dans l'espoir de trouver quelque chose d'utile. Certains, portant la mention « Matériel de camping » et « vêtements usagés : chaussettes dépareillées, habits ayant rétrécit au lavage » avaient attirés sont attention. L'inventaire de la 1ere caisse spécifiait qu'elle contenait, entre autres, un réchaud, deux cartouches de gaz. Ce qui pourrait s'avérer utile si il décidait de rester dans la cave, chose qu'il ne comptait pas faire. Mais avait-il réellement le choix ? L'autre boite fut plus intéressante, compte tenue des circonstances. Il trouva un lot de T-shirt ayants rétrécit au lavage, ce qui les mettaient à peu près à sa taille. Thomas était plus grand et plus gros que lui, à part leur pointures, qui étaient identiques, il y-avait une taille d'écart. Il y-avait un treillis complet datant du service militaire de Thomas, qui depuis le temps avait bien grossit. Johan l'essaya, il lui allait comme un gant. Il ne portait qu'un simple jean, qui maintenant était taché de sang, et ses pieds, nues dans ses chaussures, lui procuraient une sensation désagréable. Quand à son torse et son visage, souillées par le sang d'Erika, il n'avait qu'un seul souhait, se nettoyer. Ce qu'il fit grâce à un pack d'eau minérale, et grâce à un savon trouvé dans le carton « Piscine » Après s'être redonné une apparence décente, il s'estima chanceux: Si la porte résistait, et étant en chêne massif, il était probable que oui, il ne mourrait ni de faim, ni de soif. Il y-avait tant de choses dans la cave, et il n'avait pas encore fini l'examen de toutes les boites présentes. Il s'intéressa aux bouteilles de vins,il en pris un et regarda l'année 1985, il la reposa et regarda une autre 1997. Lassé de regarder les cartons, il fouilla la chaufferie. Lors de sa première inspection, il s'était concentré sur la présence ou non de zombies. Pour cette raison, il n'avait pas remarqué ce qui se trouvait sur le grand bureau, installé sous l'escalier. Il y avait posée en évidence, un écran et un clavier, ainsi qu'une boite de 12 cartouches, dont 2 manquaient. Un sourire illumina son visage, le fusil de chasse venait de retrouver son statut d'arme à feu. Et connaissant Thomas, si il-y avait un ordinateur il devait y avoir aussi un accès à internet, et donc la possibilité d'appeler à l'aide. - On peut dire que j'ai un bol de cocu, s'exclama-t-il. Puis savourant l'ironie de la situation, il éclata de rire. |
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