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Niv. expérience : 1
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La choquante différence C'est une maison, seule et entourée de sable. Sur lequel, jonchent des restes de corps humains accompagnés, de-ci de-là , par des cadavres sans vie qui n'ont que pour but de se nourrir de sang et de chair fraîche. Dans cette demeure, autrefois habitée par d'honnêtes personnes, l'ayant lâchement abandonnée, du moins qu'à moitié d'après les restants de morceaux de membres de ceux sus-cités, on ne n'y trouve plus aucun meuble. Tout a été détruit, hormis une « armoire » se trouvant dans une des chambres encore disponibles. Qui, au premier coup d'œil, n'en donne pas du tout l'allure car elle faisait au moins deux fois la taille d'une armoire normale et était entièrement recouverte de plaques de métal, de contreplaqué et autres matériels similaires . Dans cette chambre, aucun son... Rien. Excepté un grignotement incessant, provenant de l'intérieur de cette armoire. Dont, une porte entrouverte, on peut apercevoir un pied presque entièrement rongé jusqu'à la moelle. Ce pied, appartenait à un homme, qui avait décidé de s'isoler dans ce meuble afin d'espérer survivre à ces bestioles. Malheureusement pour lui, il ne réussit pas et fut dévoré. Il y a de cela plusieurs semaines, cette personne, suite à un affrontement avec l'une de ces abomination qui termina plutôt bien pour lui, excepté une blessure suite à un impact au crâne, décida de se réfugier dans cette armoire, pour ainsi se protéger de ces horribles bêtes et pouvoir vivre en toute sérénité, seul et au chaud. Les quelques jours qui suivirent son arrivée, pendant lesquels il en profité pour sortir chercher suffisamment de ressources pour consolider son abri, il eut la chance de ne pas être perturbé par des invités surprise. Et put ainsi rendre sa forteresse plus impénétrable par des envahisseurs, venus d'ailleurs. Malheureusement pour lui, après cette poignée de jours paradisiaques, en plein dans son sommeil, des dizaines de petites bêtes, dans lesquelles l'on pouvait trouver des termites, des fourmis et autre bestioles du même acabit, se mirent à tenter de détruire son habitat. Mais grâce à ses améliorations et arrangements de son bastion, il réussit à les repousser du fait de leur nombre trop peu important. Le jour suivant cet évènement inattendu, il décida, en prévention d'un éventuelle nouvelle attaque, de continuer à sortir chercher des composants nécessaire à l'optimisation des propriétés défensives de son armoire, ainsi il était paré à toutes éventualités. Le soir venu, l'heure approximative de leur prochaine attaque arrivant, il finit les derniers préparatifs visant à empêcher l'invasion de sont territoire et se prépara à leur arrivée. Lorsque fut, à la seconde près, un léger vrombissement se fit entendre. Elles étaient de retour ! La peur au ventre, les mains tremblantes, il s'arma de la seule arme qu'il ait pu trouver, une pelle en assez mauvais état qui était pleine de fourmis à sa découverte. Soudainement, le bruit s'arrêta pendant quelque secondes s'allongeant comme un serpent après son repas, la suivante toujours plus longue que la précédente, et place à un bruit étonnement puissant pour de si petites bêtes. Des grattements, qui survinrent de toutes parts du mur défense, ce qui fit comprendre à notre courageux guerrier armé jusqu'au dent que l'assaut avait commencé... Le vacarme continua pendant quelques minutes, insoutenables pour les deux côtés, bien que ce ne soit pas pour les même raisons. Des trous commencèrent à se faire à plusieurs endroits de ses défenses, ils grossissaient à mesure que les secondes passaient, quand soudainement. Plus rien, plus de bruit, plus de grattements frénétiques. Elles étaient partis, sans aucune raison alors qu'elle étaient à deux doigts de passer ses renforts et en finir avec lui. Pendant plusieurs heures, il continua à se demander ce qui avait bien pu passer par leurs têtes, ce qui l'empêcha de dormir et l'obligea à rester là tout en craignant un retour de flamme de leur part. Lorsque la soleil se leva, il prit la décision de retourner dans le désert aller chercher de quoi réparer les dégâts causés par ces horribles bestioles, et aussi de quoi rendre ses défenses plus efficaces face à leurs attaques d'une ampleur inhabituelle venant d'êtres aussi petits. Ainsi, plus les jours défilaient plus l'attaque était importante, et donc, plus il devait arpenter le désert à la recherche d'objets pour sa sécurité. Et les fixer sur son armoire, retirer les anciens, les retaper, puis les remettre et les compléter par de nouveaux. Un travail de longue haleine qui lui prenait de plus en plus de temps à mesure que le journées passaient. Mais, le peu qu'il avait de libre en journée, il en profita pour étudier ces bêtes, ce qui lui permit d'en savoir plus et donc pouvoir mieux s'en défendre et s'en protéger. Plus leur armée grossissant, plus il se dit qu'il se rapprochait de la fin. Il y aurait bien un moment où ses défenses ne seraient plus suffisantes, mais que ce se passerait-il à ce moment ? Allait-il se faire dévorer ? Comme son armoire tous les soirs. Le soir tant redouté arriva, malgré ses défenses importantes, ces monstruosités passèrent à travers celles-ci, au grand malheur du constructeur. Une fois dedans, elles foncèrent en direction de l'occupant de cet endroit, qui tenta en vain de les repousser et d'en abattre le plus possible mais c'était inutile... Elles étaient bien trop nombreuses, et incroyablement résistante, et le dévorèrent à une vitesse ahurissante, ne laissant que quelques morceaux après seulement plusieurs dizaines de secondes. Lorsque leur repas fut terminé, elles repartirent comme si de rien n'était, probablement à la recherche d'une nouvelle proie à se mettre sous les crocs... Étrangement, ces bêtes n'avait rien en commun avec des fourmis, des termites, ou des petites bêtes. Elles avaient plus une silhouette humaine, pas réellement l'apparence puisqu'elles avait une peau déchiquetée, en très mauvaise état. Comment pouvait-on les confondre avec de si petites bêtes ? Bien des années plus tard, alors que de petites poignées d'humains avaient survécu à ce cataclysme et avait réussi à éradiquer cette menace d'une manière ou d'une autre. Le corps de cet homme, enfin ce qu'il pouvait en rester, fut retrouvé par des archéologues curieux de savoir comment avaient essayé de survivre certaines personnes. Il l'envoyèrent au laboratoire qui avait trouvé la solution à ce précédent problème, qui, en autopsiant ses restes de cervelle remarquèrent que cet homme était atteint d'une forme inconnue de l'occlusion de l'artère centrale de la rétine, qui altérait ce que l'homme voyait et donc déformait sa vision. Pouvant transformer un humain en fourmi, en araignée ou serpent, suivant les phobies du sujet. Tout cela n'était donc que le fruit de son imagination, cela n'était en rien des petites bestioles mais des humains infectés par un virus qui a plongé ce monde dans le chaos. Ce qui explique en quoi ces bêtes étaient incroyablement puissantes et résistantes pour leur taille... |
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