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Niv. expérience : 1
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Je découvris ma chambre comme un gosse de 8 ans qui enlève l’emballage de son cadeau de noël, j’étais surexcité à l’idée de voir une chambre, comme on en faisait avant. J’arrivai dans ma chambre, je ne passai pas loin de la crise cardiaque, tout était parfait, les draps blancs, les deux lampes de chevets autour du lit, le tapis … Je visitai la maison avec Narcissique, mais au bout d’une demi heure je partis me coucher. Le lendemain matin ce fut Monsieur le maire qui me réveilla. - J’espère que je ne vous ai pas réveillé, dit-il joyeusement. Je vous apporte les quelques règles de la ville. Je m’assis sur mon lit, et je commençai une longue lecture : Bienvenue dans « Vétéran de la survie » si vous lisez ceci, c’est que vous venez d’arriver. Il y à quelques règles qu’il ne faut pas transgresser, sinon, vous en paierez la dette ! - Ne jamais voler d’objets en banque sans avoir une excuse valable. - Ne jamais aller voler chez les autres sous peine de mort. - Allez chercher les ressources dehors tous les jours. - Ne pas rester dehors la nuit. Les règles que je connaissais avant s’accumulèrent, mais cette fois-ci pas de plans foireux, je serais le bon élève. Je sortis de me maison pour faire comme prévu, aller fouiller dehors avec Tolki et Narci’ seulement, j’insistai pour que l’adolescent vienne, mais il ne voulait pas, il disait qu’il se sentait mal. Je sortis de la maison avec Tolki mais je voulus sortir pas les grandes portes seulement celles-ci étaient fermées. Je me retournais quand je vis une autre plus petite porte, je m’y rendis et je sortis dans le désert pour de longues fouilles. Avant de sortir ils nous donnèrent des pelles, de quoi améliorer la fréquence des fouilles. Nous fouillèrent longtemps, toutes les zones avaient déjà était fouillées auparavant, alors nous avançâmes, un peu, beaucoup … Une tempête de sable se leva et nous étions extrêmement loin de la ville, nous prîmes une direction hasardeuse. Au loin nous vîmes un bâtiment qui commençait à se former. C’était un temple au premier coup d’œil. J’hésitai longtemps à y aller mais, mais Tolki insista, nous rentrâmes, je voulus reculer quand à plusieurs reprises j’entendis des bruits de pas, mais Tolki n’était pas du genre à se démonter. Il prit les devants, puis tout à coup il s’arrêta net. - Regarde au loin, dit-il. C’est de l’or, un lingot c’est sur. Je regardai, je vis cette chose, mais je n’étais pas très d’accord pour m’y rendre. Je mis ma main sur l’épaule de mon compagnon, je lui dis qu’il fallait faire demi tour au plus vite, mais au contraire, il se mit à courir vers la salle qui contenait l’objet convoitait par Tolki. Il passa la porte puis une meute de zombie lui sauta dessus, je courus pour le sauver, quand une autre meute se dressa devant moi, je me retournai, je m’aperçus qu’ils m’avaient entourés. Alors que les cris de Tolki me déconcentraient, me décourageaient, je pris la fuite entre les nombreux zombies, je sentis leur dent près de mon coup, mais aucun ne parvint à me mordre. Je courus longtemps vers, nul sait où, je commençai à perdre espoir quand enfin je vis les labyrinthes de la ville, je fis le tour et je rentrai par là ou j’étais venu le matin même. Je rentrai dans ma maison quand je m’écriai à moitié terrorisé : - Tolki, j’ai du l’abandonner, ils étaient trop nombreux ! Personne ne répondit, alors je fouillai la maison aucune trace de Narcissique, il y avait seulement sa machine à coudre sur la table. Je me couchai épuisé, éprouvé par tout ce qui s’était passé aujourd’hui, sur mon lit. - Hé Hé Hé, réveilles toi ! s’exclama Narcissique. Désolé de te réveiller mais, il est où Tolki ?! - C’est une longue histoire, il à décidé de partir … barbouillai-je - Il reviendra plus ? - Non, désolé, t’étais où aujourd’hui ? - Je suis allais fouiller dehors ! - D’accord … Au début je regrettais de ne pas vraiment lui avoir dit, mais je n’étais pas fier de ce que j’avais fais, laisser tomber un ami dans une tel situation … Quelqu’un frappa à la porte, je partis ouvrir, c’était le maire. - On ma dit que vous avez prit de l’alcool aujourd’hui, s’écria-t-il furieusement ! - Non, pas moi en tout cas … répondis-je calmement - On m’a dit que ça venait de votre maison et il manque un alcool en banque ! Narcissique se glissa dessous la porte et dit d’une voix honteuse : - C’est moi, m’sieur, j’suis partis sauver quelqu’un qui était dans désert ! - Dis le avant, c’est tout ce que je demande, que ça ne se reproduise plus car la prochaine fois c’est le cachot ! Il claqua la porte ! D’un coup, je regardai l’adolescent furieux ! |
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