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Niv. expérience : 1
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Ma Peur grandissait en fonction de mes pas vers la porte. Ma main saisit la poignée, mais je tremblais, trop a mon goût, je transpirais et ma main était moite. Malgré cela, je réussis à ouvrir la porte d'entrée j'y aperçus une grande flaque de sang dans le salon. En m'approchant, mon sang se glaçait de se que j'allais trouver la bas ... Quand enfin je rentrais dans le salon, mon sang ne fit qu'un tour. Il y avait une espèce de cadavre, la en plein milieu, sans jambes, il rampait vers mon pauvre chien qui avait l'air terrorisé du spectacle qui s'offrait a lui. Je courus a la cuisine pour attraper sur le plan de travail le grand couteau de cuisine, et retourna au salon, en m'approchant du zombie je constatais que c'était le voisin d'a coté ... Il avait une fille avant. Je l'aimais bien, elle était sympa, mais la pauvre elle était atteinte d'un cancer. Elle est morte il y a 1 an et quelques, le pauvre monsieur Lingston n’arrivait pas a s'en remettre... Bon revenons a notre récit, je m’approchais du cadavre ambulant pour lui asséner un grand coup de couteau dans la poitrine ! Non en fait je n’en ai rien fait, j'avais la trouille et c'était limite que je parte en courant ... Mais il fallait faire quelque chose, et vite ! Sans réfléchir je pris le couteau en le serrant fort dans ma main, et j’essayais de viser la tête pour plus d’efficacité. Le couteau s'enfonçât dans un bruit répugnant. Un bruit dégueulasse je vous assure ! Bref il était devenu inerte. En vitesse j’attrapai le chien et courut vers la voiture .... Je sautai dedans et démarrât ... Heureusement que mon père m'avait donné quelques leçons de conduite en vue de passer mon permis plus tard. Cela n'empêche qu’après une centaine de mètres j’étais coincé dans les embouteillages. Suite aux embouteillages je me suis résigné à rentrer chez moi J'y serai plus tranquille accompagné de vivres et de sécurité. Une centaine de mètres me séparait de mon domicile, ce qui ne serait pas chose facile à parcourir étant donné la situation... Les cadavres des voisins jonchaient la rue et les trottoirs, les gens criaient, des zombies leurs couraient après. J’étais moi-même pétrifié à l'idée que l'un d'eux se décide de faire de moi son déjeuner. En avançant, un groupe de cadavres a décidé que j’étais assez appétissant à leur gout. Deux choix s'offraient à moi. Servir de repas a ces monstres ou tout simplement prendre mes jambes a mon cou, j’optais donc pour la deuxième option. L'endurance n'étant pas mon fort, j’imaginais la tache plus que difficile, mais c'était ça ou je me faisais bouffer… Je réussis tant bien que mal à faire une quarantaine de mètres, mais le souffle me manquait. Mon chien lui était déjà parvenu a l'entrée du pavillon. Il faut dire que la peur et le stress n'arrangeait pas les choses... Alors que je m’essoufflais, je me retournai pour voir ou ils étaient par rapport a moi et miracle ils n’étaient plus la ! Ils avaient décidé de chercher une personne plus appétissante je pense... En ouvrant la porte de chez moi, je constatai que quelqu'un était entré. "Maman ? Papa ?" Aucune réponse ne me parvenait... Mais soudain, un objet lourd me frappât sur le coin droit de ma tête et je m'assoupis... |
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