havemercy Putain, j'entre dans l'arène par la petite porte et tout l'orchestre symphonique me soutient, j'avance pas, je vole. Lui en est bouche bée. Eux se taisent davantage à chaque pas qui m'enfonce dans le sol. Par l'assurance qui enfle en moi, par ce putain de destin qui parcourt mes veines, qui roule sous ma peau ; le zombie fait une pause il a remarqué qu'un truc pas net était en action. Je lui enfonce le crane au sol d'un talon et défait les chaînes du vieux. Ça ne plait pas. Il en vient d'abord un, puis trois. Des baraqués et vicieux. Impossible de combattre ces mecs d'un tenant. Je pointe vers la loge et mets le chef de meute au défi. Le connard se trouble, il hésite et cède. C'est dans la poche. Il vient à moi et je le bouffe, littéralement. Puis c'est comme dans un rêve, je perçois du sang et je distingue mal au travers du voile, devant mes yeux. Je perçois le sang sur les mains d'un autre homme, la foule, qui hésite, et, fugacement, le sourire sardonique de key au loin. |