Tanake Je place mon pied au moment où la portière se referme et retiens un grognement. Je sors la fille, la flanque sur le trottoir, les nichons déjà dehors. Je prends sa place. Le mec "MEC PUTAIN" quand je lui fourre ma plaque sous le nez, il continue de gueuler mais se calme quand j'ouvre le porte document. Je farfouille et en sors une enveloppe que j'ouvre : une dizaine de sachet, je renifle, de la coke. Je lui balance les saquets à la gueule, il commence à hoqueter. J'essaye pas de le calmer. J'attends que sa panique enfle puis roule, qu'il se demande ce que je veux, qu'il passe en mémoire ses petits délits, ses tristes combines. Il se ressaisit à la fin et tire la gueule. Commence à me parler de ses connaissances, qu'il va contacter son député, toujours les mêmes conneries. Je prononce un mot : Tanaké. Il pige pas "mais putain qui c'est cette connasse?". Je lui chope la cravate et lui écrase la tête contre le volant. Il gueule. Je lui chope le cou et lui glisse Tanake Murakami une ancienne scénariste de ton staff qui s'est évaporée y a quelques temps. Jeune sexy. Je lui mets la photo sous le nez et j'en profite pour le redresser. Il arrive finalement à ressaisir suffisamment ses esprits. Il se souvient vaguement de ce non ou cette tête dans un de ses services. Je lui dis qu'on va faire un tour tous les deux. Ca ne semble pas l'enchanter. |