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Niv. expérience : 1
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havemercy Les hordes. Moi qui voulait goûter un instant aux joies oubliées de la vie, une bonne baise, un gueuleton. Le gong sonne je l'entends. Une crécelle. Du haut de la muraille entourée je les vois qui s'amoncellent. Des tâches elles bougent au loin. La panique, chez moi elle est forte, maîtrisée à l'instant au bas ventre. Elles s'approchent suffisamment pour que l'on puisse entendre le son de leur chair. La panique qui cherche sa voie. Je tourne mes regards : les veilleurs vont flancher. A coup sûr la perte de leur chef les mets déjà au tapis. Faut reprendre ça en mains mais j'halète. Fuir ce son. Mes couilles, rétrécies, mon sphincter prêt à lâcher: je cours vers l'arrière vers le sombre, pour trouver un remède à la peur panique, quitter l'eau sombre, respirer. Le corps d'une femme, m'y enfouir, y creuser ma tombe, je fonce et, derrière oui c'est pire que devant, les femmes, les enfants, livides. Je coince une belle totalement terrorisée dans un coin et l'entraîne à l'écart. Elle hurle je la calme d'une taloche et lui fait comprendre, mes yeux, elle le comprends d'un seul instant et accepte ce que je lui demande, peut être qu'elle aussi cherche ce réconfort, peut être nos êtres physiques hurlent de se reproduire si proches de la fin. Nous nous écartons, elle ouvre ses cuisses et m'accueille : je la pénètre fort fort, les dents accrochées à son cou, elle me sert la nuque, nos fronts joints et on bouge plus que par tressaillements, chacun qui nous soude davantage, le reste l'explosion je la sens femme. Elle m'embrasse enfin et moi, remonté à bloc, aussi fort que le bronze je n'entends plus que le battement de mon cœur, qui pompe non du sang mais ce liquide chaud et puissant qui fait serrer les dents. |
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