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Niv. expérience : 1
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Celui qui tenait la chaîne était baraqué, il n'était pas seul, ils étaient 4, aucune chance si je fuyais. C'est fini, cette fois le Corbeau pourra prendre les restes ... - Si ça ne tenait qu'a moi je te laisserais, commença l'un des hommes, mais c'est le souhait des autres. - Ta gueule , rétorqua aussitôt un autre, tu crois vraiment qu'il a été gentil avec nous ? Ils me sortirent du bâtiment, je ne voyais pas de potence. - Elle est où ? - De quoi parles tu ?répondit l'homme à la chaîne - La potence ! Ils se regardèrent et se moquèrent de moi ! - Tu ne souhaites pas nous quitter, pas déjà . Mais oui, c'est vrai .... Tu étais dans le bâtiment, tu n'es donc au courant de rien ! Il n'y a pas eut d'attaque, certains racontent qu'il n'y a plus de zombies, nous partons dans le désert à la recherche d'autres humains ... J'ai cru que mon cœur sortait de ma poitrine tellement il tapait fort. Puis en un instant, l'homme baraqué me mit la chaîne autour des mains, pendant que ses "esclaves" me tenaient. Cette fois, c'est trop, c'est rabaissant, c'est - C'est ce que tu mérites ! Ils me tirèrent vers la porte, là , toute la ville attendait, ce ne fut pas une grande accueil, on pouvait même entendre des "Il est pas mort lui" "Non ma pauv' Lucette, malheureusement". Puis un petit homme, que j'avais déjà remarqué à cause de sa manie de toujours vouloir commander, vous comprendrez vite que, je ne pouvais pas le voir, s'avança. Je le nommerais "Tête de Pin's" tout au long des événements à moins qu'il monte dans mon estime en se suicidant ... - Vous avez pris tout ce qui est en banque ? Tout le monde répondit en même temps, à croire qu'ils le voyaient supérieur, pas en taille en tout cas. - Nous allons partir, on reste ensemble, continua Tête de Pin's . Mais il est là notre banni favoris, alors pas trop fatigué ? Il n'aurait pas dû commencer comme ça ! - Oui, un peu, si tu pouvais arrêter de parler ça me reposerais ... - En plus, tu en rajoutes ? Tu sais que ce n’est pas bon de commencer comme ça ? Personne n'a pensé à lui mettre un PMV dans la bouche ... [i]- Non, tu sais, tout le monde n'a pas les même fantasmes que toi ! Il s'approcha de moi, tout en me fixant dans les yeux, il avait l'air remonté, mais, pourquoi ? - Non, ne sort pas le fouet, continuais-je, noooooooon ! - Je t'ai a l'œil, je t'ai a l'œil, finit il. |
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