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Niv. expérience : 1
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Au réveil, il était 7h53, le ciel était pluvieux, je sortis du lit pour voir si Elise était levée, en me rendant dans sa chambre, j'ai remarqué qu'elle dormait encore et donc je ne l'ai pas réveillée. Je suis descendu pour manger un truc, les armoires était toujours la, et aucun zombie n'était passé, tant mieux. Je me dirigeais vers la cuisine et commença à préparer le petit déjeuner de Elise, elle était superbe quand elle dormait. Après avoir préparé ce festin de fortune, je pris les escaliers pour la retrouver, elle dormait encore, je l'observais un peu, et m'assit a côté d’elle. Je la secouai un peu pour la réveiller doucement, elle ouvrit les yeux et elle me murmura : - Mmh..., quelle heure il est ? - Il est 8h15 et je t'ai préparé le petit déj' - Merci dit-elle en enfournant les petits pains dans sa bouche, puis elle continua : - Ch'est encore comme cha dehors ? - Je ne sais pas je n’ai pas été voir, mais en tout cas, les armoires on fait leurs effets. - Parfait, aujourd'hui on va chercher Marc. - Qui est Marc ? - Mon copain je te l'ai déjà dit ! - Ah oui c'est vrai....il habite où ? - Pas très loin d'ici. - D'accord mais d'abord j'aimerais vérifier quelques petites choses. Elle se leva et je fis de même, nous descendîmes au salon, elle récupéra son fusil, et moi je m'attardais sur une photo de moi et mes parents. {Au moment de cette photo, nous étions parti en corse, c’était très joli comme île, j'avais chaud là -bas. En général je suis très timide mais là -bas j'avais rencontré une fille sympa avec qui j'était sorti le temps des vacances.} La tristesse me submergea et une petite larme me coulait sur la joue, en y repensant. On a tout pris ? - Oui, enfin je crois... - cool, on peut y aller alors. Ont poussa une des armoires, puis on sortit dehors et c'était le calme plat... On aurait dit une scène de Shaun of the dead... Nous marchâmes en direction de la maison de "Marc". Le silence entre nous deux s'était installé et je me demandais quand est-ce que qu'il allait être brisé, et par qui. Sur le chemin nous avons croisé un ou deux zombies, qu'elle a abattu de sang-froid, elle avait tirée en plein dans la tête et quelques morceaux m'avait atteint, c'était....répugnant! Elise avait l'air fort mentalement et j'aimais ça... En arrivant chez Marc, la maison était dévastée, est était brulée, à l’intérieur aucune trace de vie, ou de mort... A l'étage le papier peint avait brulé et les chambres étaient vides, dans la chambre de marc le lit était retourné et la fenêtre cassée. Il n'y avait plus trace de vie - Il s'est peut être enfui ? Lui dis-je - Cela m’étonnerais, il n'est pas du genre à s'enfuir devant la menace... - Oui, devant la menace, mais devant un zombie ? - Bon fais pas chier il est parti voila tout!... - D'accord, d'accord, ne me crie pas dessus comme ça,... (Je devais avoir l'air faible à force de m’écraser comme ça ! J'aurais du lui montrer que j'avais du caractère aussi !) Nous redescendîmes et la dans la cuisine se trouvait Marc...Bon il était un peu dépité, mais bon il n’était pas mort, ni zombie. - Elise ! dit-il - Ça va bien ? Qui c'est lui ? - C'est un ami, nous nous sommes rencontrés pendant l'attaque hier... - Ah d'accord, et comment tu t'appelle ? Je constatai qu'il était blessé à la jambe gauche, le sang coulait fortement. Ça ressemblait à une morsure. - Qu'est-ce qu'il t'est arrivé à la jambe ? - Oh sa..., c'est rien je suis tombé. - Ah ! Et une chute te cause une blessure comme ça à toi ? Je ne savais que trop bien qu'il s'était fais mordre, mais les gens qui sont infectés n'ont tendance a ne pas le révéler. Je remercie le Guide de survie en territoire zombie que j'avais acheté il y a de cela 6 mois environ. Il était bien utile ce livre, il racontait plein de trucs qui auraient servi a ce moment... Non je te jure, je suis tombé et il y avait une planche brisée en bas et elle m'est rentrée dans la jambe ! - Mouais... enfin c'est bon on verra ça plus tard. - Bon écoute *Nicolas* il t'a dit qu'il n'avait rien, alors c'est que c'est vrai ! - OK, OK arrêtez de me gueuler dessus vous deux. Aller, on va bouger de là ! Il faut qu'on aille vers la campagne. Les grandes villes n'offrent rien de bon dans ces temps là ! On essayera de soigner ta plaie quand on sera au calme. - OK ! Allons-y ! |
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