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Récit : « Pandémie »

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Chapitre 2 : Un.
Octobre 2010 : Journal de 13H :
« Mesdames, Messieurs, Bonjour. Au titre de ce journal, c'est la mutation du virus de la grippe A H1N1 qui à fait à ce jour : 45 millions de cas plus 30 000 mort. Ce virus à désormais muté et est beaucoup plus dangereux. La France est le premier foyer de ce nouveau virus appelé Grippe A2. Pour l'instant, une dizaine de cas ont été recensés et pour la plupart dans un état grave. Et aussi le sport avec le match... ». Je coupais la télévision à ce moment là. La grippe A ont en parle tous les jours, moi-même, je l'ai eu.

Une étude américaine avait démontré que le virus ne pouvait plus muter, mais malheureusement les américains ont dû se tromper. Je le savais bien, que le virus allait muter, j'ai même lancé l’alarme. Je suis un chercheur au CREPG : Comité de recherche Européen sur la pandémie de grippe. Au premier abord, on pouvait constater que les victimes du nouveaux virus H1N1 2 avaient des plaies énormes sur le corps, puis tombaient dans un profond coma pendant que leurs corps commençaient à se dégrader. Je suis convoqué demain pour une réunion de crise à l'Élysée.

Je traversais la cour du palais avec mes collègues du comité pour se réunir une énième fois en cellule de crise. Arrivé dans la grande salle du conseil des ministres nous disions la vérité à l'ensemble de la cellule. « Comme vous le savez juste quelques informations sont arrivé aux mains des médias. Ils annoncent une dizaine de cas rien qu’en France mais dans les laboratoires nous traitons 430 cas dans un état plus grave : Le corps de ces malheureuses victimes devient plus qu'un amas décharné. Nous étions dans l’obligation de les attacher, mais malheureusement pour eux, il était trop tard. Le cerveau est entièrement ramolli, et quand ils se réveillaient, c'est pour nous attaquer comme si notre odeur les attirait. Nous allons exterminer pour l'instant les cent cas les plus graves ou il n y a aucune possibilité de retour en arrière. Il semblerais que l'eau les réduit en poudre ».

« Avez-vous trouvé un vaccin ? », me demanda le président. Je lui répondis sèchement que non. Puis je continuais mon discours : « Pour les cent cas les plus graves ont ne peux même plus dire qu'ils sont humains, en effet, leurs facultés mentales sont réduits à des instincts primaires qui sont : l'anthropophagie et la destruction. Ils ne respirent plus, ils peuvent se passer de nourriture pendant des jours, ils ne dorment plus. Ils sont aussi très allergique à l'eau certes mais ils bougent encore, on peut donc les définir de mort-vivants. »

L'assemblée, choquée par ces nouvelles, ne disait plus un mot. Puis, quand je sentis que la ministre de la santé allait parler, je l'interrompis car je connaissais l'objet de sa question : « En ce qui concerne un éventuel antidote ou vaccin, nous allons faire notre possible ». Une fois le conseil des ministres terminé, le comité et moi rentrons au CREPG pour continuer notre travail.

L'union Européenne comptait sur nous.

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