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Récit : « Whordes Up! #5 »

SommaireChapitre 1Chapitre 2Chapitre 3Chapitre 4Chapitre 5Chapitre 6

Chapitre 7Chapitre 8

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Chapitre 4 : Sitarane Vs Menisque
Round 1

Panda aka Menisque
Qu’est-ce que cette arène, une cour des miracles ?
Pour vaincre une plaie hordienne, on y trace un pentacle ?
Envoyer à ma haine un coq tête à tacle ?
Personne qui convienne pour tenter le miracle ?
Aucune magicienne pour créer ma débâcle ?
Péripatéticienne pour faire le spectacle...
Tout ce qu’ils ont trouvé
A m’opposer
C’est un sous-écrivain
En chien de pains ?

Tu ne te sens pas seul pour vaincre ma grandeur ?
Sitarane, as-tu peur, petite mire à rire ?
Pour te coudre un linceul, je m'en viens tout sourire
Te démonter la gueule à grands coups d'extincteurs.

Avant de démonter
Ta gerbe molle
Je tiens à découper
L’herbe folle
Qui pourrait pousser
Verbe mariol
Par les pieds au palets.

Délicieux délit, ce tableau
Arrêter tes délires au pinceau :
Toi la grande molle de Dali
Et moi, de Goya le Pandi !
Tous ces multis pliés
A mon seul bagous
Ces vers multipliés
A vous en dégouter
Seraient pour d’autres fous
Raisons de déchanter
Mais loin de répudier
Mes manœuvres de loups
Je m’en vais les chanter !

L’Augure et le bouffon
Pourrisseur et démon
Le nabot aux clochettes
Le Roi tyran, La Bête...
Autant de patronymes
Trop tentant à la rime...
Si tu t’aventurais
Sur ces chemins aisés
Tu serais la risée
De hordes tout entier.

Sitarane aux six tares
Citons tes torts au plus tôt
Dont l’oublie justifie
Que tu survis si tard :


Le premier sans hésitations
Est cette mièvre propension
Au mimétisme de fillette
Qui prône de mendier mes miettes !
Tes manières de patriarche
Sont une minerve quand tu marches
M’énerve et gêne les badauds
Ton vieux ne vaut pas mon Diderot !
A crier haut que tu ferrailles,
Travailler un perso qui t’aille ;
Cuirasse en peau, des mots qui taillent,
Malheureusement...
Le diable est dans les détails
Tu ne seras jamais de taille :
Tous ces maux que tu détailles
Tous possèdent la large faille
D’être l’écho de ma mitraille !
Triste sort que je dé-raille.
Fort aisément.

Le deuxième aiguillon
Est ce défaut d’élocution
Qui déforme tes discussions
En détestables oraisons.
L’indécente masturbation
Tendance aux démangeaisons
Va découler en pendaison.
Mais toutes tes déglutitions
Souvent dénuées de raison
Ont dénoncé ton ambition
D’échapper au rang de morpion.
Tes phrases en alambics
Manquent un peu d’alchimie
Sais tu ce qu’est, ami,
Que de donner la trique ?
Ton discours de soumis
Déplais au grand public.
Même l’élite que je suis déjà se lasse !
Ton élan se délite en jacte dégueulasse !
Ton cas sans litige à la première place
Se ferait élire comme pugilat sans classe !
Un troll délivré suffit pour que je te dépasse.
Sache que mon délire n’est qu’une dédicace.

Sitarane aka Dimedolorole

Un vieux pommier ne fait pas de vieilles pommes, c'était un adage autrefois connu des prétendus gentilshommes. Je ne connais en revanche rien qui dispense du droit ancestral de la bonne et sûre fessée parentale.

---

Cet individu n’a probablement rien d’impressionnant, je le concède. Ceci dit, cette vieille branche est faite d’un bois qui jamais ne cède.
Imaginez un unique accord de guitare désaccordée. Vocalise de cordes vocales usées.


« Wesh », paie ton « check » gamin, c’est bien c’qu’ils bavent, les nains,
D’la merde à chaque trou, et le nez en biniou ?
Ouais j’sens le vieux ragout, mais moi j’ai du bagout
Alors, fils, tiens-toi bien : j’torche en alexandrins.
Tu crois que je dérape ? Mais moi, garçon, j’te rape,
Montre-un peu, p’tit ball-trap, comment tu te rattrapes !

Ok. Pause. Relis, je veux que tu comprennes tout. Avec moi, la dictée, c’est sans à-coups.

C’est bon, p’tit, tu cogites ? J’vois bien que tu t'agites
T’as les yeux de l’enfant vexé comme un gros paon
Qui se gonfle de vent, qui toujours fait semblant.
Si tu veux être un coq, puceau en fake coït,
Lâche tes mauvais « pokes », et sors un peu ta bite.

Allons … Vous n’allez quand même pas dire qu’il y va trop fort. Quitte à déterrer la hache de guerre, faut se sortir le tomawak du popotin. D’ailleurs, ça me rappelle une histoire…

T’aimerais, p’tit rouquin, te la jouer grand indien ?
Allez, j’suis pas un chien, vas rejoindre les tiens !

Tu sais mon petit gars, à cette époque-là,
Le Corbeau n’avait pas autre chos' que les foies.
Au temps de la ruée, Marshall j’donnais le La
Sois prêt à couiner, j’fais jouer la corde raide
Et pendant tout ce temps où la loi, c’était moi,
Tu suppliais les gens de pas « judge » tes dreads

Ah, les vieilles coutumes ! Quand passaient dans l’bitume
Ceux qui tentaient d’plumer sans beaucoup de talent
Les aut’ poules mouillées et tous les charlatans.
Jeune monsieur s’remplume, même quand je le fume
C’est ça d’être du foin, les aiguilles en moins
Boy, choisis tes témoins, tu vas tâter d’mon poing
Je me fais la montagne qui te brise le dos
Parole, pour la castagne, t'auras pas de démo !

Retour sur le terrain, balle dans mon camp. Tu te rends compte, en 98 tu avais 2 ans ! Penses-y : ce sera la deuxième fois, coco, que tu le vivras sur les genoux, le 3-0.

Allez, ne fais pas cette mine. Aimes-tu cette accroche, vermine ?

Mon grand, quand on pavane, faut anticiper les vannes.
Qu’est-ce que tu veux, Minus, y’a jamais qu’un Cortex
Moi c’est pas Superbus que j’voyais au Grand Rex !
Viens tâter de ma canne : mon nom est Sitarane.

Round 2

Panda aka Menisque
Alors comme ça tu nous balances
Quelques miteuses références ?
Avoir du bagage c'est bien
Mais pour jouer la bagatelle
Faut pas taper dans la crécelle
Réveille toi on est hordiens !


Regarde Sitarane...
Et prends garde !
L’air ambiant se charge soudain en vapeurs de sang
Dansant avec la brume et les volutes d’encens,
Brouillard pourpre indécent où les neiges de décembre,
Rougies de blanc, rient des sens, et nous cachant tes membres
Eparpillés.
Ton râle fatigué sera le genre humain
Radote tout en crevant dans un manteau carmin
Terrassé, abrutis de douleur, au sol seul,
Irradiant la peur, ahuris, guignol veule
D’être touché !
Ce duel agréable aux tournures de joute
Plein de fiel théâtral, a tourné à la croûte.
Car ton bal est de miel et tournant et valsant
Nous conte une ballade linéaire et d’un chiant...
Route pavée.
Obligé par ta voix à frapper un grand coup
Jaillissant de partout, je te blaisais au cou
Et jouant au lutin que tous bien connaissent
Giflait d’alexandrins ta face et sans cesse,
Douze pieds dans les reins, un « connasse » d’airain,
Te pousser à la fin pour qu’enfin tu te blesses
A trop crier « pitié », déglutir et vomir
Ta glotte ensanglantée. Ton échec fait sourire.
Ce corps glacé sanglote involontairement
Quand le cœur asséché tressaute vainement
Et les veines vidées dans leur totalité
Résonnent en chœur : « Nous sommes tuées ! ».
Allons Sitarane, quand la verve assassine
L’ennemi, s’il le peut, décampe et se débine
Car il serait débile, idiot voire fort fou
De rester sans chapeau sous la pluie du courroux.

Quand le ciel s’embrase de mille couleurs fauves
Quand les dunes s’embrassent jusqu’à perte de vue
Je pose un campement à l’ombre d’un talus
Un vague feu de camp et une marinostov...
Menisque, voyageur et gens de Qualité
Mon nom n’est pas que sang et vapeurs de thé
J’ai tout un univers dans mon sac de marche
Tes inutiles vers en ratent la démarche !
Tu attaques l’homme publique, le libre penseur
Tu rates l’écrivain, triste chibre bretteur !

Présentement.
Pour te dévorer les os
Transformation en goulet
D’étranglement.
La salive de tes mots
Suffit à t’empoisonner.
C’est décevant.
Nul besoin d’expédition
J’ai ta ruine découverte
Evidement.
A fouiller dans ma maison
Tu enfonces une porte ouverte
Piètres des clefs.
Tu es du paysage hordien
Comme une cabane de citoyen
Mais en bossant juste aux chantiers
L'eunuque de la communauté.
Sans boules de sable fétichistes
Ce clash fait du picto masochiste !

On m'a tant décrié
Atenté à ma vie
Attaquant à grands cris
Mais matant la critique
Je les ai massacré
Et si certains répliquent
Les fous !
Que ma verve palie
Au niveau de la taille
A ma verge jolie
C’est faux !
Aucun jamais ne pu
Les avaler.

Sitarane aka Dimedolorole

Mes expés étaient en lacet, gamin,
Avant que tu ne saches nouer les tiens.
Tu veux du délicat, du tout nouveau ?
Bien : je t'aligne sur tous les tableaux.

---

Bazinga ! Hey, Panda, descends de ton bambou :
Me voilà.
Intermède. J’le concède, y’a eu de sales coups
Sur ce thread.
Abraca – dabra ! Sors tes crayons ‘Scoubidou’
Tu seras
Relégué, dans le Bac où s’entassent les bouts
D’pots cassés.

Prends ta montre, je démontre, en moins de temps que Katz,
Que même dans les contres, tu es juste un ersatz
D’animal survivant. C’est simple, en A + B,
T’es amorphe et bavant, le zéro de l’expé
Un actif négatif, des paroles sans actes,
Un bad boy relatif, plein d’axiomes sans tact.

Tu fais la bonne pomme, mais sans aucun Newton,
Dans les murs, tu pourris, tout en faisant des tonnes
De ton air gentilhomme. Pourtant, ton peu d’atomes
Gagnant de l’entropie ne valent pas un ohm
Tant ton potentiel, bien qu’un peu résistant,
Ne produit que fiel parmi tous les agents.

Regarde un peu ta plume : tu parles et ne dis rien
T'as les atours d'un roi, les tirades d'un Tarquin
Mais tes rimes s’enrhument. Si sonne l’hallali,
Ce sera bien par moi, victorieux Hernani
Car je te rendrai plus misérable qu'Hugo
De son âme défait, brassé au fil de l’eau.

Pause ! Voici donc venir la seconde session,
Et je te sens frémir, aurais-tu l’impression
De ne pas être, parfois, tout à fait à la page ?
Tu n’auras pas deux fois espoir de rattrapage.

Dis adieu à Hygie, tu confonds mythe et songe
Crois-moi, ton agonie ne te fais pas Gandhi
Pour toi je serai peste, et si t’en sors grandi,
C’est que j’ai la main leste, et par ta lèpre, t’allonge !
Pour toi pas de miracle, car je pars en croisade
Profaner tes oracles, te faire vivre Bagdad !

Bref ! Panda et Shaman, t’aimes être menacé
Et la disparition est ta spécialité !
Tu joues les caïds, man, mais t’as loupé l’échelle
Paie ton évolution, tu perds ton naturel.
Je pénètre, prédateur, dans ton écosystème
Darwin est à l’honneur quand je te post’ mortem.

J'illustre un enseignement à ne pasfuir : quand on s'engage, il faut construire.

… Et si ce flot de mots te donne la migraine
Si chaque trait d’esprit te parait décalé
S’ils te semblent bateau, il faut que tu comprennes
Que tu n’as rien compris, que tu es…
Recalé !

Round 3

Panda aka Menisque
Ne faire que répéter ce qui s'est dit déjà
Te rabaisse au niveau de TrollPhy ou Mangaaaas !
J'ai beau relire encore avec un maigre espoir
Voir dans la reliure l'originalité choir
Je n'y trouve que glavios éculés et minables
Ce n'sont pas ceux qu'on croit qui joue en bac-à-sable.


Menisque le bouffon a bien plus d’un visage
A peine m’effleures-tu que je change de page,
De rôle play.
Je regarde tes coups de ma chaire céleste
Ombre d’épouvantaille pour combat indigeste.
Mon rôle plait.

Pour la troisième tare,
J’aimerai
Sortir de mon costar
La vérité :
N’en as-tu donc pas marre ?
De passer
Pour mon simple avatar
Con roquet ?
Tu luttes sans espoirs...
Au Zoo las de Pandaville.
Mes maux frappent dans l’Emile
Mes mots sont Assommoir...
Et j’assène au passage mes troupes en bataillons !
D’une certaine façon, je comprends tes raisons
Et apprécie ta haine : hommage à ton démon.
Tu entres dans l’arène pour y gagner un nom
Puisqu’arrivé à peine, dommage d’être un trouffion
Tout soumis à mes chaînes, quelle triste humiliation...
Quelques soins que tu prennes, mon gommage fait pression,
Efface ce que tu sèmes, pâle copie de bouffon !

Le défaut quatre est l’histoire rasoir.
Ce défaut de picto sur âme dérisoire
Sous mes allures de Don Quichotte
J’allume les laidrons qui chialent
T’es mon moulin, une vraie fiotte !
Pas la peine de rouler des palmes
T’as pas d’âme, juste un nom pâle.
J’ai la palme des existences
J’en ai paumé un peu partout
Si tu penses me faire violence
Commence par vivre comme un fou !
Avoir un peu d’exigence
Et conscience que tu te foires
Pour voir que tu manques de science
Je pense que c’était à prévoir.

Ta cinquième stupidité
Fut simplement de m’offenser.
Même les bêtes semblent savoir
Qu’on ne combat pas sans espoirs...
Dans cette sauterie la lutte est inégale
Mon passé resplendit de glorieux dossiers
Impérieux, applaudis, décoré de procès
Tandis qu’à ton propos brille un vide abyssal.
Tu n’es que le taudis, toi qui n’as rien tenté
Tout juste dévoré pour une ville privée
Pauvre peu dégourdi, tu n’évolues qu’en mal...
Je suis l’âme et l’ovation !
Au bas mot la baraque !

La dernière évidente est sans doute la pire
La pitié première voudrait qu’on te lapide
Car te jeter la pierre serait de notre ire
Un doux homicide. L’impie mérite l’acide !
L’arène hordienne ne saurait tolérer
Un tel manque de goût, jamais on y a vu
Un goujat sans mentir ainsi se présenter
Sans bagou ni charisme, tu nous as déçu.
Enchaîner les phrases bien tournées
Ne créé nulle extase tu l’as mal pensé.
Il est maintenant trop tard, ton anale pansée
Ne saurait me suffire, je m’en vais dépecer !
Croyais tu suffisant de jouer la suffisance ?
Maintenant tu suffoques, le réel t’élance.
Désolé mon brailleur, pour parler dans le vide
Il te fallait briller. Tu penches vers le bide.

Nous tenons là les six tares
Plus besoin de chercher l’âne...
Mauvais Augure et Roi des pitres,
Maître rôliste... Sitarane
Ton nom n’est que mon sous-titre.
Rien que le beau n’y face
Me combattre t’efface.

Et pendu à ma porte
Comme un pauvre pendard
Contemplant ta peau morte
Sans qu’on pleure ta perte
Jeune pouilleux pédant
Tu regarderas choir
Tes larmes en noir et blanc
Car mon nom est Panda !

Sitarane aka Dimedolorole

Ironie, le Fou du Fou va découvrir
Que l'original est fin prêt à surgir
Des habits d'ombres qu'il avait endossé.
Vois comment un vrai retour est négocié.

---

Tu dis que je suis dépassé ; dis-moi maintenant à quoi il sert, d’être un homme du présent, sinon de demain être celui d’hier ?

Inutile de citer des penseurs antiques si tu ne maîtrises pas leur rhétorique. Laisse-moi donc innover à la manière du passé : pas besoin de hacher pour te dépiauter. Commençons… par mon Curriculum Vitae.

En creusant le temps fut un fossoyeur ensevelissant sans candeur. Trafiquant d’angoisse et chercheur en morts crasses, son héritage est un cimetière et l’art de s’enterrer dans le désert.
Toi, qu’as-tu gravé dans le marbre, sinon de vaines palabres ?

Réincarnation éclectique, j’étais un bouffon excentrique. Amuseur mercenaire et artiste visionnaire, il était, lui, acteur et engagé. Créateur enragé, il repose dans une Citadelle oubliée.
Panda, mes seules fesses ont inspiré plus de records que tes soi-disant prouesses.

Le poète derrière le masque offrait ses rimes autant que ses frasques. Pourfendeur de faux-semblants et victorieux parmi les Damnés, sa poésie n’exultait qu’au service du dépassement.
Qu’as-tu réinventé, animal diurne, sinon le bourrage des urnes ?

Tu parles de « Qualité » comme en mercatique : c’est mensonger, une sale rhétorique qui ne touche plus de bois, une sale politique qui reste aux abois. Que disent les sondages ? Tu perds des points, je me maintiens.

Mes associés ? Aussi bons que je l’ai été. Excuse-moi du peu : nous, nous avons créé un mode de jeu. Regarde ton gang : du vent dans une gangue. Tu pourrais monter un club des losers si tu avais du talent ; mets quand même le masque, ce sera plus séant.
Au contact des grands on s’améliore, mais toi tu bloques sur des pécores.

Tu es un mort en sursis, tout est déjà écrit. J’ai six ans d’avance, plus l’intelligence. Qu’espères-tu encore accomplir ? Corbeau, j’aurais pu deux fois le devenir ; et de la V3 j’ai connu les coulisses… quand MT a voulu l’avis d’un expert en malices. Qu’importe d’en faire plus, je suis déjà éternel. Hordes porte les stigmates de mon engagement passionnel.

Regarde ton bilan, c’est badant. On dirait une pie tellement tu t‘éparpilles. Alors que tu gribouilles, je trace. Je complète le tableau, retourne à ta place.

Ce clash n’est pas orthodoxe ? Soit, c’est mon paradoxe. Et que m’importe l’avis des juges ? Après moi, le déluge.

Surcouf disait : « Chacun se bat pour ce dont il manque le plus ». La gloire et la victoire chez moi ne font plus chorus.

Pour finir, et ça reste entre nous deux : quand on voit ce que te met un vieux, tu devrais vraiment rester en RNE.

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