Progression : 0/100
Niv. expérience : 1
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Format du clash : 2 rounds de maximum 400 mots +/-. Premier round superblarf Rendez-vous 22 heures place des Martyrs, J'arme mon flingue, c'est mon tour et j'tire ! Droit dans le mille, pas le temps de respirer Que je crache déjà sur ton chevet ! Alors Cortez, innocent ou vrai salopard? Messieurs les Jurés, je voudrais bien savoir ! Un tour sur ton âme, quelle est ton histoire ? Ok une ville classée, mais chattée par hasard ! Allez avoues, c'était un jump aléatoire ? Ton compte est bon, les détails parlent d'eux même... Ta dernière « bonne » ville, c'était Saison 2 ! Autant dire un vestige de feu Mathusalem... Un trophée rance pour un joueur poussiéreux ! D'ailleurs ton âme, c'est vraiment pas grand chose, Deux saisons d'absence et des villes sans gloire. Tout juste quelques SALC sur un forum morose, Pour un peu d'amour, une réputation dérisoire... Et y'a qu'à voir sur Twino ta popularité, Une âme faible et l'avatar d'un mec teubé, Incapable d'inspirer honneur et fidélité, Mec, t'es juste indigne de te faire « kuber »! Alors vous tous, oubliez le procès et le verdict, Ce moment, c'est celui de la vindicte ! Ne prévoyez que mouchoirs et soupirs, Car le second couplet pour lui sera bien pire ! Cortez Quand Bovin me l'a dit, j'y croyais à peine: "T'affronte un tech qui s'prend pour un canard." Il porte la défaite dans son ADN, J'suis sûr de gagner, il cumule les tares. J'suis un Salopard, j'te colle les miquettes. J'te massacre avec ta propre clé-à-molette. Bob le bricoleur, là j'lui fais sa fête, Retourne dans les douches faire tomber des savonnettes. En huit rimes le caneton j’déboite. Dans mon dos j'ai caché ma batte, Sans pitié j'vais t'casser trois pattes. T'iras pas pleurer chez Patat. Tu l'as pas monté, t'es passé sous l'bureau. Tu vois que du bleu quand tu regarde ton bourreau. Et comme à l'asile on aime faire les choses bien, Prenez ses empreintes, j'vais ruiner c'technicien. Ce type a vraiment mauvais goût, Il aime jouer des sous-métiers. Quatre-vingt-dix jours de Canigou, Et maintenant il est serrurier. Les seules empreintes que tu laisse C'est dans ton slip qu'on les trouve. Moi je vais te tenir en laisse, Et coup de clé si tu l'ouvres. Dans l'histoire c'est toi qui paye pour jouer habitant. Sûrement l'RP moustache et grosse clé qui t'plait tant. S'auto-palucher c'est devenu ton passe-temps. Pourtant sur ton âme rien de bien palipitant. On t'a pas dit qu'les smileys twino ça fait tache ? Un peu comme tes RP qui sont faits à l'arrache. Tu poste même ceux des autres, t'es leur canard laquais. On t’voit pas aux chantiers, tu récure le parquet. Les plombiers moustachus, j'les renvoie dans l'tuyau. J'comprends qu'tu sois déçu, on t'latte avec brio. Pour jouer les défis, personne ne vous attendra. Les Bricol'girls travesties sont toutes des p'tits bras. Hors de question qu'tu m'vole ma salopette, Bébert. J'suis un bonhomme, toi t'as les coucougnettes légères. J'te cloue l'bec au sens propre et au figuré, J'te préviens, c'clash tu l'finiras défiguré. Dernier round superblarf Pas besoin de flip, tu flippes déjà assez. Pause café, le jury s'est bien restauré ? Sortez vos popcorns, je viens de recharger ! Une seconde mitraille contre un gars dépassé, Préparez-vous, car voici mon apogée ! Pour le public, je manie la plume comme l'enclume, Pour le public, je frappe fort et je l'enrhume! Pour le public, mes mots l'envoient direct à l'hosto, Pour le public, Cortez n'a pas le swag d'un Héros ! Et même si tu tente bien quelques ripostes, Arrête de mentir, tu casses pas trois pattes à un canard. Tes capacités ne sont que celles d'un smicard, Tandis que moi, technicien fidèle au poste ! Comme à l'atelier, j'envoie ma clef à molette, Avec fougue, elle virevolte et fouette les airs, Un direct du droit dans ta gueule de mauviette, Qui te fait saigner du nez et chuter à terre. Vraiment, les habitants n'ont rien dans le ventre, Ils ne sont que le prolétariat d'un jeu coriace, Où les pauvres et les âmes impuissantes, Sont ridiculisées et n'auront jamais leur place. Il n'y a qu'à observer votre ville qui sombre, Une carte peu explorée, trop de zones d'ombres, Une banque sans provisions, de faibles défenses, Et déjà cinq morts qui annoncent votre décadence. Alors non, ne viens pas me servir ta prose, Toi et les habitants n'avez aucun talents, Si ce n'est de faire fuir les zombies approchants, De vos corps qui puent la fiente et la nécrose. Alors non, ne fais pas l'innocent car tu es coupable. Coupable d'être un miséreux et un incompétent, Coupable de ton uniforme franchement dégradant, Coupable d'être habitant, pouilleux et minable. Cortez Le publique moi je dirais qu'tu l'endors, Tu m'sors ta prose on croirait Jean Rochefort. Deuxième round, j'remets l'canard dans le viseur. Pour achever la bête y m'faudra pas dix heures. Aujourd'hui Daffy Duck s'fait tuer par le chasseur. La Technicity passe au rouleau-compresseur. C'est tout c'dont t'es capable garçon ? J'te sur-estimais pas de toute façon. Tu tape au marteau, moi j't'écrase au maillet. T'as pas le swag habitant, le publique a baillé. Le mec en face s'exprime comme JCVD, YMCA dans son tourne-disque. Le catalogue IKEA c'est ton livre de chevet. Va rejoindre ton collègue de la police. T'as pas honte de jouer un métier inexistant ? Dans cette compète, vous êtes juste les absents. La grande roue est votre seul accomplissement. Y a que dans l'inactivité qu'vous êtes constants. Trop de médiocrité, sur votre topic on s'pend, L'équivalent d'une ruine mais on y trouve pas d'plan. Le RP à la petite semaine à fait son temps, Pour être chez les bons fallait postuler habitant. Que de la qualité, chez nous on sait role player. Peu de pouvoir c'est plus de responsabilités. On joue en hard et on l'fait sans payer. L'esprit hordes c'est nous qui en avont hérité. Pour avoir la clé faut un brevet d'kikoo, Même votre maire a regretté son coup. Vas-y pleure, j''t'ai pas fait coucou. J'te sert cuisson bleue au barbecue. T'es l'roi du coupe-coupe ? Prouve-le. Tout c'que j'vois c'est un techos boulet Qui se fait tacler par des morveux. Expulsé de son propre sujet. Texte d'auteur, appelle-moi Andersen. Jusqu'au bout je jouerai au plus fin. J'te finis, tu me fais de la peine. Dans cette histoire le vilain p'tit tech meurt à la fin. |
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