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Chapitre VI : « La guerre ne détermine pas qui à raison, uniquement qui survit. » ERREUR ??// ??TEMPS////ERREUR, DD/MM/AAAA/Temps d’opération : ERREUR ????E//EE….(Pas de réseau)/Zone inconnue, Amérique, Terre. Le Caporal Jenkins ouvrit faiblement les yeux. Il était attaché à une chaise, des cordes faisaient office de menottes. Il se trouvait dans une sorte de cellule, les murs étaient sales, des tâches de sang mêlé à des bouts de mur détachés étaient perceptibles par le faible néon, il n’avait plus son armure et son gilet pare-balle lui avait été enlevé. Seul restait son T-shirt avec ses insignes militaires et son pantalon couleur désert. Il faisait extrêmement chaud dans la pièce et le jeune Caporal transpirait abondamment, son ventre criait famine et il avait soif, vraiment soif. Il tenta de se dégager et de se relever, mais un éclair de douleur lui transperça la poitrine, il se rassit dans un faible gémissement. Il observa sa poitrine, un bandage avait était entreprit, il s’était imbibé de sang. Jenkins ne savait plus quoi penser. Qui était ceux qui l’avaient enlevé ? Où était-il ? Où était son escouade ? Un bruit strident de métal qui grince l’arracha de ses pensées. Quelqu’un approchait. Le jeune homme gonfla les poumons, il prit un air décontracté et attendit que l’on vienne. Un homme âgé entra, il portait un uniforme de général avec deux étoiles en argent fixées aux côtés de ses nombreuses médailles, signe d’un passé militaire plutôt chargé. Il avait les cheveux blancs, un regard ferme, les yeux perçants et ses vêtements étaient étonnamment propres. Il s’arrêta à un mètre du Caporal. Le regardant fermement, tel un lion prêt à bondir sur sa proie. Jenkins lui faisait face, le regard perçant lui aussi, il tentait d’avoir une posture droite malgré la douleur. Général : Très bien, vous allez me dire qui vous êtes, d’où vous venez, qui est votre supérieur et bordel, expliquez-moi ce que vous foutiez dans une caisse dans l’outre-monde ? Jenkins : Bonjour, tout d’abord, je suis enchanté de vous rencontrer, je viens du pays des schtroumfs, mon maitre est le seigneur Vador et … Le général lui mit un violent coup de poing dans le thorax. Sous le choc, le sergent étouffa un cri de douleur. C’est en gémissant qu’il tenta de se remettre droit. Mais à peine eut-il finit qu’il se fit empoigner la gorge par le général fou de rage de l’affront que lui avait fait ce « jeunot ». Général : énervé Ecoute-moi bien mon p’tit gars, ce sera plus facile pour nous deux si tu me dis tout ce que tu sais. Je pourrai te donner de l’eau, de la nourriture et un semblant de confort si tu te montres coopératif. Jenkins : gémissant M..mon Gén..éral…quof quof..a..allez vous fa.ire foutre.. Le général lui décrocha, avec autant de violence, un coup de pied sur sa blessure, s’en suivit d’un second coup de poing cette fois en pleine figure. Un nouvel éclair de douleur se fit ressentir dans le corps du Caporal, il cracha du sang. L’officier s’apprêta à lui redonner un autre coup quand un soldat fit irruption dans la sombre pièce. Soldat : Général Alken…mon Général, on a un problème. Vous devriez venir voir. Le mystérieux officier se retourna, les yeux remplis de colère face au soldat qui venait de faire irruption et de donner son nom devant le prisonnier. Puis se il retourna et sortit de la pièce en refermant brutalement la porte qui claqua dans un grincement de métal. Le néon s’éteignit. Laissant seul le jeune Marine. Seul avec sa souffrance et les inquiétudes qui vont avec. |
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