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Niv. expérience : 1
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Les cris morbides faisaient rage au dessus de nos têtes et Zora mis sa tête sur mon épaule pour se rassurer. je la pris dans mes bras. Contrairement aux autres, c’était le plus beau jours de ma vie ! Les hurlements putrides, je ne les entendais plus. Les larmes de Gandalf, je ne les voyais même plus. Je ne ressentais plus le froid, mais seulement la chaleur qu’elle dégageait. Je me sentais bien. On entendait la meute ronger le parquet du dessus par centaines de coup de griffes. Je n’en avais rien à faire. Les cris déchiraient nos oreilles, et tous s’étaient bouchés leur ouïe de leurs mains. Je n’avais même pas remarqué les sons. J’étais comme autre part. J’étais comme au paradis... à ses cotés. J'espérais nous ne nous quitterions pas ce soir, juste après l’avoir rencontré. Les zombies nous trouvèrent. J’entendis les planches qui protégeaient l’entrée de notre refuge céder sous les scarifications. D’abord elles craquèrent, puis elles explosèrent littéralement à notre figure ! Ils entraient, mais Chef et Stingers furent plus rapide. Ils étaient déjà prêt. Trois rafales parfaitement synchronisés avait suffit, mais pour combien de temps. Une dizaine de cadavres de zombies étaient déjà empilés au dessus de l’ouverture. Zora était toujours dans mes bras et j’étais toujours aveugles aux événements. une deuxième vague arriva, plus nombreuse, plus affamée. Chef et Stingers reprirent leur manège, mais ce fut cette fois insuffisant. Takkeo se jeta dans le combat, deux poignards en main. Il commença son sombre art en tranchant deux gorges du premier coup. Le sang gicla sur sa face dans une raie morbide. Il se baissa, une jambe en avant, et engagea un violent tourbillon destiné à trancher les pieds des immortels. Il se releva, noble, couvert d’hémoglobine, les yeux plissé. -J’ai fait mon job, à votre tour, dit-il, le sourire aux lèvres. Puis son émotion stoppa nette. Il baissa les yeux... Un main verdâtre avait transpercé son corps. Le sang dégoulina de sa bouche, venant se mêler à celui de ses adversaires. Il tomba à genoux, ferma les paupières, mit un premier bras à terre, puis le deuxième, puis il s'affaissa au sol, une épaule penchée vers la droite. Le parterre trembla sous son poids et le cris de Darckness fit trembler les fondations même de la maison. Il sortit deux énormes revolvers de son sombre manteaux qui volait dans le vent, courra vers le corps replié de Takkeo. Il vida ses chargeurs sur les assassins. Une balle par mort, pas une de plus. Son habit flottait dans l’aire tel un héro, sa cape au vent. Les non-morts éliminés, il saisit la tête de Takkeo, puis lui dit : -Crèves pas, je t’en supplie ! On a besoin de toi ! On a besoin de toiiii !!! Darckness pleurait. Je ne l’avais jamais vu faire ça auparavant. -Je... Je suis un...Monstre de guerre... C’était ma destiné que de mourir. Lui dit-il. Personne... Personne ne pouvait... rien n’y faire... Ne pleure pas ma mort... Nous sommes en vies pour le présent, pas pour le passé... Puis la vie de Takkeo s'éteignit comme la flammèche d’une bougie au souffle du vent, en laissant une longue fumée noire. Un cri inhumain sortit de la bouche de Darckness... L’attaque était passée... mais avait emporté bien des choses avec elle. Elle avait pris la vie qui traînait entre les morts, elle avait pris à un homme, la seul personne avec qui il pouvait parler, elle avait pris des balles, des défenses, des vivres, elle avait pillé une maison. Mais ce qu’elle ne savait pas, c’est qu’elle avait donné naissance à un amour. J’embrassai Zora... |
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