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Niv. expérience : 1
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Une escadrille est un groupe humanoïde prêt à tout et focalisé sur un même but. Ils bougent ensemble, vivent ensemble, tuent ensemble, un vrai corps composé de...corps. L’être humain marche comme ça. Seul, il est faible, mais soudé, il vaut énormément. Zora et moi avions été séparé. L’un dans une tour, l’autre dans celle d’en face. J’avais peur, peur pour elle, peur pour nous, peur pour cet amour qui vivait à nos cotés. Si un problème arrivait dans l’une des tours, nous étions deux à mourir. Elle et moi. L’amour est sûrement la chose la plus folle que l’homme n’ait jamais inventé. Il rend l’humain bête, inconscient, fébrile. L’amour, c’est comme l’alcool, on en prend un peu, on perd la boule, mais on en veut encore plus. L’amour est drogue, l’amour est passionné, l’amour est vivant. Il anime nos vies et nos espoirs, nos déceptions et notre mort. Tout est contrôlé par ce maître des coeurs qu’est cet amour tout puissant qui nous guide durant ce long périple qu’est l’existence. Nos couronnes sont nos supplices, notre esprit en est l’esclave et seul dans la nuit noire, nous nous perdons dans l'inconscience qui nous a capturé depuis le début de tout. Les deux tours se dressaient devant nous. J’étais avec Sengriff, Laurent, Gandalf, Sorgs et Darckness. À un bon kilomètre, Demo, Mona, Stingers, Chef, et Zora s'apprêtaient à entrer, armés jusqu’au dents. Zora était encore un peu fébrile, mais elle avait insisté pour entrer et nous aider. J’étais contre, mais on le sait tous, les femmes, dès qu’elles ont une idée en tête, elles la gardent pour une éternité. Les deux équipes gardaient un contacte radio par un talki-walki accroché à chaque chef de troupe. Chef pour la tour Ouest, moi pour la tour Est. Nous étions prêt. J’ordonnai à mes hommes qui, chacun, étaient équipés de puissante armes à feu. La grande porte, première étape de ce sombre building, antre à puants. J’avais un long fusil à pompe dans les mains, et je sentais l’envie du sang monter. Nous devions entrer dans l’immeuble, réactiver les générateurs de secours au sous-sol, prendre l'ascenseur et aller au 13 ème étage, avant dernier étage de la série pour y déposer le sac d’explosif. Sorgs avait son fusil-mitraillette à l’épaule, la cigarette entre les dents. Il semblait nostalgique, son passé de guerrier lui revenait peu à peu... Il allait sûrement faire fureur durant l’action. Le sang allait couler comme un fleuve en crue... Nous entrions, et déjà, le décor était posé. Une atmosphère lugubre, un lustre en ruine était tombé au milieu du hall d’entré, sous un corps qui jamais ne s’est relevé de cette accident. Nous avancions lentement dans ses long couloirs. Le plan à l’entrée avait parlé d’un escalier menant au sous-sol dans la partie nord du bâtiment, tout droit. Une première porte était à ouvrir. Sorgs me chuchota : -Attends... Il sortit un objet carré de sa poche et fit passer deux fils provenants de la chose jusqu’à dans ces oreilles. L’objet s’éclaira. -C’est un ‘’I-pod’’, ou en tout cas, c’est ce qui est dit derrière ce truc. J’aime avoir de la musique quand je fais éclater des corps. M’expliqua-t-il. Il reposa l’I-pod dans sa poche.’’Garden Of Eden’’ , voilà ce qu’il écoutait en ce moment là, m’a-t-il dit plus tard, mais le moment n’est plus à la parole. -J’ouvres la porte, vous tirez à vue... La porte grinça, et déjà, l’odeur cadavérique des infectés se fit sentir. Je tirai à l’aveugle, sans lumière, mais les sons m’informaient quand je touchais les cibles. leurs râles étaient longs, puissants, glaçants. Je voyais leurs crânes éclater. Ils étaient pourris de l'intérieur, c’est trucs-là, la peaux en lambeaux, et les yeux rarement par paire. La salle était maintenant ‘’propre’’... Enfin, c’est une question de point de vue... La chaire des zombies étaient restée collé aux murs par les balles, des têtes sans corps s’agitaient de gauche à droite à chercher leurs corps. Nous arrivions vers l’escalier. Nous descendions au sous-sol, les esprits prêt au combat. -FEEEUUUUU !!! Cria Sorgs à la vue d’une vingtaine de cadavres ambulants sur les marches. Je tirai, un premier coup, un corps fut troué, mais avançait toujours, je repris mon souffle, le recul due à la puissance de l’arme m’avait étonné, je ne l’imaginais vraiment pas aussi fort. J’armais un deuxième coup, le canon penché vers le bas. Une jambe éclata, le mort-vivant n’était plus qu’à cinq mètre et je devais recharger. Je fis tomber le canon vers le bas, pris deux balles dans ma poche, et les enfilai, une par une. 2 mètres. Je remis le canon droit. 1 mètre. Je tirai. La tête la première, le zombies qui s'apprêtait à me mordre venait de se prendre la balle. Je tirai un dernier coup, et le silence se mit à régner. Le premier affrontement était fini. La première étape du plan était face à nous. Le sous-sol... |
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