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Niv. expérience : 1
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L'ERMITE Ils ne pensaient à rien.La mort elle-même les avaient complètement désintéréssés. La journée il la passait dans leur trous, dans leur taudis, tout dépendait de leur convenances.À l'extérieur le monde étaient plat, quadrillé,et donnait l'impression d'une mer de silence.Un silence oppressant.Les hurlements et les feulements du vents contre les rochers étaient une toile de fond à ce silence de mort.Le genre d'atmosphère qui finit par vous tuer.Et après la mort de l'esprit, il y a la mort de la chair.Les os broyés, la multitude de connaissance dévorée, le coeur piétinée. Et à l'instant-même, les individus terrée dans leur refuge avait les yeux éteints des morts, le souffle glacés des mourants et le corps séchée du désert.Et le reste n'étaient rien.Les considérations physique n'étaient rien, son mentale ne vacillerait pas. Habitués à la vie dans le désert,il avait oubliés certaine chose mais la survie lui avait avait apportés un complément de connaissance.La dureté de la solitude de l'outre-monde lui avait servis à survivre. Un bras arrachée n'est rien.Et les connaissances ne se perdent pas vraiment. Il se réveilla en sursaut.Il ne dormait pas vraiment, en fait, mais avait sombré dans une demi-somnolence, et il avait perdus le fil de ses idée.Il se leva.Son gîte était "sobre".Les murs avaient une teinte poussière, la poussière du désert, tellement écoeurante, le goût de la cendre et de la pourriture;Quand au sol, il était étrangement irrégulier, couvert de détritus en tout genre.Il traversas une sorte de vestibule, et il sortit à l'air libre.Il sentit le vent chaud fouettés son visage, et baissant les yeux, il ne vit que le vide.une échelle pendait tristement, et se perdait dans une brume de chaleur.La porte de sa "maison" était en fait construite à plusieurs centaine de mètre d'altitude.ou peut-être seulement une dizaine de de mètre?Il n'avait plus de notion des distances précises.Même le temps lui semblait maintenant confus.Tout les jours, les détails de sa descente aux enfer lui apparaissait.Même le futur ne semblait pas avoir de barrières, et se confondait avec le présent et le passé, formant un horrible mélange temporelle. Et au sommet de cette falaise, il se demandait si tout cela n'était en fait qu'un rêve.Il commenças à descendre, précautionneusement, pour trouver de quoi manger.Les rafales d'air charriait du sable et de la poussière, le faisant tousser violemment.Il posas pied à terre, et marchas.Le désert était là.Il l'entourait.Masse sombre et inquiétante.Amie, elle vous offre de quoi survivre, ennemie, elle vous tue lentement, à petit feux, jusqu'à ce que vous ne soyez plus qu'une masse de chair sanguinolente à terre.Il fermas les yeux,fatigués, et les rives du temps l'emportèrent. Les champs était dévastés.Le lieu était désertés, de toute évidence au premier regard.Il ne savait pas ou il se trouvait en ce moment.Était il dans le futur ou dans le passé?Il prit une direction au hasard, vers le soleil.Il croisas un groupe d'individus qui marchait, eux-aussi.On lui conseilla de rebrousser chemin, mais il refusa.Encore un suicidaire pensèrent ces braves gens;et, apercevant un homme sans tête sur une civière, on lui expliquas que c'était pour l'enterrer loin du territoire des zombies.Il continuas son chemin.Il crut apercevoir, alors, quelqu'un ou quelquechose derrière lui, e t à peine eut-il le temps de se retourner que la nuit tombas subitement.Ce ne fut plus qu'horreur,délire infernale se poursuivant de manière périodique, enracinant l'humanité dans une terre d'apocalypse. Il avait bien fouillé aujourd'hui.Il avait trouvé plusieurs vivres et des objets bien utiles.Il remontas l'échelle, et se coucha sur son matelas.Le futur lui apparut alors en rêve, horrible, désespérant, se mêlant avec le passé, et le présent.Et des êtres en perdition lui apparaissait, victime de la folie de leurs ancêtres, condamnés à souffrir pour toujours.La lune était haute ce soir là, et les zombies, par milliers grognait à la mort, s'acharnait sur des ilots de civilisation encore debout.Et la répétition infernale.Demain.Dans une semaine.Un mois plus tard.Ce seras il passés quelque chose?Les choses seront pires, et les humains moins nombreux. Il se leva en sursaut.Encore un jour.Il se levas péniblement, et partit pour chercher de quoi manger. Je suis l'ermite. |
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