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Récit obscur Lundi 29 mars 2010 à 11h21
Petit récit écrit par un anonyme, qui est pourtant assez drôle. Je le met ici histoire de tâter le terrain à la vue d'un énième Roleplay. Si, par tout hasard, personne n'aime, cet anonyme sera pendu. Mais comme on sait pas qui c'est, on pendra une personne au hasard (chiche). "Robert, merde, on t'as déja dit cent fois que c'était épuisé ici, pas la peine de fouiller encore!" Robert leva la tête: C'était un gars trés idiot, qui louchait, moche et lâche. Aujourd'hui, c'était l'équipe de Tony qui devait le prendre en expedition. C'était un fardeau. Avec lui, t'avais aucune chance de prendre quoi que ce soit d'utile. On aurait pu l'abandonner, mais le pire... Le pire c'était que Robert était le fils du dictateur qui avait pris le contrôle de la ville. Son fils, c'était la huitième merveille du monde. Un jour, John avait voulu lui donner un coup de pied au derrière. Il s'est fait pendre dans la minute. Depuis, on supportait en silence, en esperant qu'il crève la nuit a venir. Mais tout le monde s'était mis d'accord sur le fait que même les zombies était pas assez cons pour bouffer un truc pareil. Et l'équipe de Tony est en train de peter les plombs, car Robert s'entetait a fouiller la même parcelle de terrain. Il répondit a leur apostrophe: "Ouais mais, vous savez, on peut peut être encore trouver un truc quoi". Et voilà. La même rengaine depuis cinq heures. Ah on rira d'eux, quand ils rentreront avec trois os cassés et une souche de bois pourrie! Pendant ce temps, en ville, Jack s'occupait des chantiers. Jack son truc, c'était de cogner avant et de reflechir aprés. Le problème, c'est que sa reflexion lui disait souvent de cogner une deuxième fois. Voilà pourquoi on obéissait a Jack, même si on trouvait difficilement plus incapable. C'est bien simple: Quand on lui a demandé de faire sa tente, il s'est dit que c'était trop difficile, et il est allé squatter celle de quelqu'un d'autre, qui bizarrement, s'est retrouvé avec le nez un peu tordu. Bref, autant dire que la construction du chantier allait être drôlement retardée. Le soir, toutes les équipes étaient rentrés, et tout le monde s'était bien gardé de dire que celui qui avait fait les plans du chantier avait fait un travail de merde. Robert était rentré triomphant avec son jerrycan, suivi de Tony qui le regardait avec une envie de meurtre. On ferma les portes, et rout le monde put prendre un repos bien mérité. Chacun regagna son taudis, sauf Robert, qui prit la direction du chateau. L'attaque des zombies ne provoqua pas d'accident, sauf l'inondation du slip de Robert. Cela faisait longtemps qu'on avait appris a se boucher le nez lorsqu'on le croisait en chemise de nuit. Le dictateur, l'homme respecté de tout le monde, même de Jack, annonça les équipes pour les expeditions et pour les chantiers. Le départ était un moment apprécié de tout le monde, car on faisait souvent la blague de fermer les portes derrière Robert, puis de se boucher le nez, et de ré-ouvrir la porte aprés quelques minutes. Puis, on attendait qu'il se change, et on partait pour de bon. Quand on rencontrait un zombie dans le desert, on avait pour habitude de le cogner a mort. Certains s'amusaient a les monter, d'autres a les voir se précipiter pour avaler de la viande qu'on leur lançait. On adorait surtout quand c'était d'anciens compagnons qui le faisait. Puis quand on en avait marre, on le butait avec un couteau ou en l'attirant dans les pièges mortels qui entrouraient la ville.

Lundi 29 mars 2010
à 11h21

Petit récit écrit par un anonyme, qui est pourtant assez drôle. Je le met ici histoire de tâter le terrain à la vue d'un énième Roleplay. Si, par tout hasard, personne n'aime, cet anonyme sera pendu. Mais comme on sait pas qui c'est, on pendra une personne au hasard (chiche).

"Robert, merde, on t'as déja dit cent fois que c'était épuisé ici, pas la peine de fouiller encore!"
Robert leva la tête: C'était un gars trés idiot, qui louchait, moche et lâche. Aujourd'hui, c'était l'équipe de Tony qui devait le prendre en expedition. C'était un fardeau. Avec lui, t'avais aucune chance de prendre quoi que ce soit d'utile. On aurait pu l'abandonner, mais le pire... Le pire c'était que Robert était le fils du dictateur qui avait pris le contrôle de la ville. Son fils, c'était la huitième merveille du monde. Un jour, John avait voulu lui donner un coup de pied au derrière. Il s'est fait pendre dans la minute. Depuis, on supportait en silence, en esperant qu'il crève la nuit a venir. Mais tout le monde s'était mis d'accord sur le fait que même les zombies était pas assez cons pour bouffer un truc pareil.

Et l'équipe de Tony est en train de peter les plombs, car Robert s'entetait a fouiller la même parcelle de terrain. Il répondit a leur apostrophe: "Ouais mais, vous savez, on peut peut être encore trouver un truc quoi".
Et voilà. La même rengaine depuis cinq heures. Ah on rira d'eux, quand ils rentreront avec trois os cassés et une souche de bois pourrie!

Pendant ce temps, en ville, Jack s'occupait des chantiers. Jack son truc, c'était de cogner avant et de reflechir aprés. Le problème, c'est que sa reflexion lui disait souvent de cogner une deuxième fois. Voilà pourquoi on obéissait a Jack, même si on trouvait difficilement plus incapable. C'est bien simple: Quand on lui a demandé de faire sa tente, il s'est dit que c'était trop difficile, et il est allé squatter celle de quelqu'un d'autre, qui bizarrement, s'est retrouvé avec le nez un peu tordu. Bref, autant dire que la construction du chantier allait être drôlement retardée.

Le soir, toutes les équipes étaient rentrés, et tout le monde s'était bien gardé de dire que celui qui avait fait les plans du chantier avait fait un travail de merde. Robert était rentré triomphant avec son jerrycan, suivi de Tony qui le regardait avec une envie de meurtre. On ferma les portes, et rout le monde put prendre un repos bien mérité. Chacun regagna son taudis, sauf Robert, qui prit la direction du chateau.

L'attaque des zombies ne provoqua pas d'accident, sauf l'inondation du slip de Robert. Cela faisait longtemps qu'on avait appris a se boucher le nez lorsqu'on le croisait en chemise de nuit. Le dictateur, l'homme respecté de tout le monde, même de Jack, annonça les équipes pour les expeditions et pour les chantiers.

Le départ était un moment apprécié de tout le monde, car on faisait souvent la blague de fermer les portes derrière Robert, puis de se boucher le nez, et de ré-ouvrir la porte aprés quelques minutes. Puis, on attendait qu'il se change, et on partait pour de bon.

Quand on rencontrait un zombie dans le desert, on avait pour habitude de le cogner a mort. Certains s'amusaient a les monter, d'autres a les voir se précipiter pour avaler de la viande qu'on leur lançait. On adorait surtout quand c'était d'anciens compagnons qui le faisait. Puis quand on en avait marre, on le butait avec un couteau ou en l'attirant dans les pièges mortels qui entrouraient la ville.

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