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Niv. expérience : 1
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Traînée par ac-coup, un mutant? un humain? une goule? est-ce que j'allais être son repas? je suis trop faible pour bouger, pour parler presque même pour respirer.Mon oeil s'ouvre effort démesuré,je tombe à nouveau dans le sombre du coma, la lumière vue quelques secondes projetant des formes de couleurs qui s'amenuisent petit à petit. Puis rien... Je me réveille sur un lit de camp,dans une tente, d'autres gisent à côté le sommeil lourd ou les blessures pansées. Mes affaires sont rangés,eau ainsi que nourriture,je m'habille et titube un peu vers la sortie. A la sortie, une femme me raconte ce qu'ils s'est passé, j'ai été retrouvée dans le désert, déshydratée à l'article de la mort.Elle me ,tend un ,taki-walki, me pose quelques questions et me laisse vaquer à mes occupations, "Le Théatre de Hiko le fruité" est assez étrange autant par le nom du bled, que par les différentes personne qui le compose. Le camp est en assez bon état,les ressources ne manquent pas, chacun est autonome et à l'air d'avoir survécu à pas mal de nuitées... Je décide d'aller faire du repérage. Au cours de ma ballade diurne j'ai pu noter un gigantesque amas de brique et de métal qui était probablement autrefois un grand centre commercial grouillant d'activité et illuminé de mille feux. Aujourd'hui il n'y grouille que de la vermine et autres immondices rampants… Nul doute toutefois qu'il recèle aussi bon nombre de richesses. quelques citoyens finirent de nettoyer les lieux a coup de pioches et de pelles dans la tête des zombies. Quelques kilomètres plus loin un ensemble de plusieurs petites maisons qui constituaient autrefois une bibliothèque de quartier. Aujourd'hui, les livres sont, pour la plupart, déchirés ou brûlés, le sol est jonché de pages arrachées et les étagères sont renversées. La zone est infestée par les morts, ma cape de peaux semble passer inaperçu. Je décide d'explorer plus loin et tombe sur une ruine d’hôpital abandonné, je rentre. L'endroit est sombre et étouffant, j'entend des grognements,fouille différentes pièces je trouve quelques plans. L'endroit est stressant je me dépêche de ressortir, mais sans prévenir un cadavre animé, explosa une des vitres, se ruant sur moi, la breloque autour du cou et ne sachant que faire, j'essayais de l'utiliser et miracle, un flash, plus lumineux que l'explosion d'un réacteur soviétique, mis en déroute le mangeur d'humain, mais par la même occasion je du ressortir à tâtons du bâtiments, éblouie subitement. Consciente du danger, je décidais de retourner sur mes pas, au campement voir ce qu'il se passait. |
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