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Niv. expérience : 1
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Vous savez ce que ça fait, de perdre son ami quand on ne peut compter sur personne ? Je pouvais envisager une technique silencieuse, mais il devait payer, il devait souffrir, il devait mourir. Je laissai le Shaner inerte par terre, je partis vers la maison de Mendez, en quelques minutes je fus devant la porte. Je frappai, ce fut mon meilleur ennemi qui ouvra, la réaction ne se fit pas attendre, je le tirai et lâchai derrière moi, dehors, puis je fermai la porte. - Sale traître, tu n’es pas assez fort, tu te permets de tuer un homme si lâchement, tu mérites une mort douloureuse. commençai-je - A deux, je n’aurai pas pu vous tuer, maintenant c’est une chose facile - Sale pu Le chien se mit à aboyer comme pour nous dire d’abréger et de nous battre, tant mieux, je sentais que je m’emportais. - Relèves toi, et bats toi ! Mendez se leva doucement, il n’était pas pressé, un petit sourire s’installa sur son visage. Je le regardais droit dans les yeux, qui allait faire le premier pas, qui allait déclencher la bataille, il n’avait pas l’air de vouloir le faire, je dus donc m’avancer. Il arma son poing et il le essaya de me le mettre dans la tête, mais je l’évitais simplement, je ripostai d’un coup dans le ventre. On aurai dit qu’il n’avait rien sentit. Il fit un pas en arrière et dit : - Pourquoi se battre, il y a d’autres moyens de régler ces problèmes, allez buvons de l’eau ensemble. Une plaisanterie, à prendre au troisième degré. Il revint aussitôt vers moi, mais cette fois-ci remontée, il m’enchaîna les coups, en quelques instants, je fus sonné, il me poussa par terre, et il s’apprêta à me mettre le dernier coup mais pas je n’étais complètement K.O, je roulai sur le coté évitant son coup de justesse. Il n’eut pas le temps de réaliser qu’il avait tapé le sol, que le malheureux se prit un coup de pied. Il était à son tour par terre, je me mis sur lui, puis je le tapai de toutes mes forces sur le visage, plusieurs coups très puissants. Je sortis de dessus lui et je dis à moitié essoufflé : - Relèves toi ! Il tenta une première fois de se relever, mais il n’y parvint pas. Il re-essaya, et cette fois-ci, il fut debout, il avait le nez ensanglanté. Il s’avança vers moi, je lui décrochai une droite à en assommer plus d’un. Il retomba par terre K.O. - Je ne sais pas si tu te souviens, mais dans les films les gentils ne tuent jamais les méchants, ils le laissent vivre, mais je ne suis pas un gentil, pas dans ce monde, tu mourras comme tu as tué Shaner. dis-je Je pris une flèche de mon arc, je l’enfonçais dans le cœur de Mendez. Je regardai son corps, je pris l’arc de Shaner je le jetai sur le corps de Mendez. Je re-pris chemin, seul, je ne pouvais m’empêcher de penser à la famille de Mendez. |
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