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Niv. expérience : 1
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havemercy Cela fait maintenant 6 mois que nous vivons ensemble, le vieil homme, key et moi. Nous nous entendons bien. Quant la petite dort, le vieil homme graisse et entretient ses armes. Moi je lis. Par bonheur un des ingénieurs responsables aimait lire, lui aussi, et cumulait les ouvrages. J'étudie. Autre bonne nouvelle : à la fin de l'été, nous avons remis en état une des pompes auxiliaires. Elle prends sur un des affluents. Cela nous a pris trois semaines, à démonter, graisser et remplacer les pièces défaillantes. Nous pouvons maintenant espacer nos visites aux villages environnants. Il y a quelque temps, nous avons assistés, cachés, au passage de survivants. Ils se sont établis à quelques kilomètres. Et sont mis à creuser, ériger des murs et vivre tant bien que mal. Plus mal que bien à vrai dire. Tout cela en exposition maximale, au centre du plateau. Les morts vivants étaient plus nombreux chaque soir. Etrange qu'ils n'aient pas remarqué que leur activité n'avait qu'un effet : signaler leur présence et en attirer davantage. Il faut rester discret. Et prudent. Mon poursuivant semble avoir abandonné. J'aime beaucoup key. De la voir courir et folâtrer dans la neige. Je me sens coupable, ses traits remplacent peu à peu ceux de ma fille. La nuit est le plus difficile. La baise me manque. Une bonne séance de jambes en l'air... Et les cauchemars sont fréquents. Il va bien falloir faire quelque chose de nos vies, mais quoi. La recherche de survivants pose problème. La radio est muette. Le vieil homme a sa vie derrière lui mais key, elle, a tout à vivre encore. Il faut que je la sorte de là. S'il y a une autre vie possible. J'ai parlé au vieil homme. Il a refusé de partir. Je grinçais des dents face à son refus. Mon impuissance je pense : j'ai failli le frapper, lui frapper le visage fort et beaucoup de fois. J'ai cogné le mur à la place. Il m'a regardé et n'a pipé mot. J'ai parlé à key et elle ne veut pas quitter le vieil homme. Plus j'y pense et plus je suis oppressé. Hum, nous devons partir. J'ai cette impression qui monte en moi comme une peste qui m'empêche de respirer. J'ai volé une arme du vieil homme et je suis sorti. La nuit est fraîche. J'ai décidé de les faire bouger. Et y a pas de meilleur moyen qu'un bon coup de stress pour faire changer d'avis ces casaniers. Je ricanais. Bon, allons nous dénicher un zombie. Je suivis l'un des cours d'eau, question de pas me paumer dans le noir, et après 2 heure environ de marche j'atteins une clairière, autour d'une ancienne ferme. Les fermiers sont tout décrépis, z'ont du manger trop de produits bios. Je rigole. Ils sont dix environs, moitié femme moitié d'hommes. Y a également un petit zombie. Heureusement que le vieux sait y faire. Je décide de conserver une des femmes. La plus jeune et la plus sexy, qui saura troublier le vieux. Les autres je les sèche à la double chevrotine. Je m'arrange pour estropier la jeune, mais sans trop l'esquinter. Puis je joue au chat à la souris avec elle. Le plus drôle, c'est qu'elle croit que le chat, c'est elle. |
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